Benjamin Freedman : Conférence magistrale sur le sionisme (1961)

Homme d’affaires, Benjamin Harrison Freedman (1890-1984) est né à New-York au sein d’une famille juive ashkénaze. Il fréquenta les milieux sionistes américains au début du XXème siècle. Il fut notamment l’assistant de Bernard Baruch, un spéculateur juif manigançant dans les dédales de  Wall Street. Après avoit fait fortune, ce dernier devint le conseiller du président Woodrow Wilson, signataire du scélérat « Federal Reserve Act » (23 décembre 1913). Baruch œuvra dans l’ombre afin de pousser les États-Unis dans la Grande Guerre.

Au cours de sa vie, Benjamin Freedman s’est converti au christianisme. En 1946, il fonda la  « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». Dans cette conférence magistrale donnée en 1961 au sein du célébre Hôtel Willard (Washington, D.C.), Freedman dénonce le sionisme criminel et nous conte les sombres origines de la Première Guerre Mondiale, du Communisme, du Nazisme, de la création d’Israël et rappelle l’usurpation d’identité manifeste dudit « peuple juif ». Sur ce dernier point, voilà ce qu’il écrit dans l’un de ses livres :

« Les 150 000 000 de chrétiens des États-Unis ont été soumis à une très haute pression de la part du clergé pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du « retour » de ces « Juifs » d’Europe orientale dans leur « patrie » de Palestine. « Juifs » prétendus et auto-proclamés, qui étaient en réalité les descendants des Khazars. Le clergé nous a sommés de considérer les « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou auto-proclamés tels), comme étant le « peuple élu » par Dieu et que la Palestine était leur « Terre Promise ». Mais en vérité notre clergé savait pertinemment ce qu’il en était. »

Benjamin HARRISON FREEDMAN – Les faits sont les faits : la vérité sur les Khazars

AZEROUAL

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