Mois: octobre 2014

Benjamin Freedman : Conférence magistrale sur le sionisme (1961)

Homme d’affaires, Benjamin Harrison Freedman (1890-1984) est né à New-York au sein d’une famille juive ashkénaze. Il fréquenta les milieux sionistes américains au début du XXème siècle. Il fut notamment l’assistant de Bernard Baruch, un spéculateur juif manigançant dans les dédales de  Wall Street. Après avoit fait fortune, ce dernier devint le conseiller du président Woodrow Wilson, signataire du scélérat « Federal Reserve Act » (23 décembre 1913). Baruch œuvra dans l’ombre afin de pousser les États-Unis dans la Grande Guerre.

Au cours de sa vie, Benjamin Freedman s’est converti au christianisme. En 1946, il fonda la  « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». Dans cette conférence magistrale donnée en 1961 au sein du célébre Hôtel Willard (Washington, D.C.), Freedman dénonce le sionisme criminel et nous conte les sombres origines de la Première Guerre Mondiale, du Communisme, du Nazisme, de la création d’Israël et rappelle l’usurpation d’identité manifeste dudit « peuple juif ». Sur ce dernier point, voilà ce qu’il écrit dans l’un de ses livres :

« Les 150 000 000 de chrétiens des États-Unis ont été soumis à une très haute pression de la part du clergé pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du « retour » de ces « Juifs » d’Europe orientale dans leur « patrie » de Palestine. « Juifs » prétendus et auto-proclamés, qui étaient en réalité les descendants des Khazars. Le clergé nous a sommés de considérer les « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou auto-proclamés tels), comme étant le « peuple élu » par Dieu et que la Palestine était leur « Terre Promise ». Mais en vérité notre clergé savait pertinemment ce qu’il en était. »

Benjamin HARRISON FREEDMAN – Les faits sont les faits : la vérité sur les Khazars

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Michael Scheuer (CIA) : « Le Congrès américain appartient à Israël »

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C’est un ancien agent haut placé de la CIA qui le dit. Complotisme? « Antisémitisme »? Cerveau malade? Il ne fait pourtant que confirmer les dires d’un certain Ariel Sharon (ancien premier ministre du régime israélien), prononcés le 3 octobre 2001, comme cela a été rapporté par le média israélien Kol Yisrael Radio (surement une radio « antisémite ») :

«À chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela. Je veux vous dire une chose très claire: ne vous inquiétez pas des pressions américaines sur Israël. Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. »

A lire (bouquin exceptionnel très documenté) :

« Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine »

de John MEARSHEIMER et Stephen M. WALT

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Les juifs et la loi de la République selon Alain Juppé

Ce jeudi 2 octobre 2014, sur le plateau de Des Paroles et des Actes sur France 2, outre le fait qu’on apprenne que le maire de Bordeaux et président intérimaire de l’UMP fête le nouvel an juif (Roch Achana) à la synagogue, à l’instar de Manuel Valls chez Marek Halter (voir ci-dessous), Alain Juppé affirme, horresco referens, que « la religion juive a toujours reconnue la loi de la République et le partage entre le temporel et le spirituel ».

Reconnaissance de la loi de la République, vraiment? Que dit-il des tribunaux rabbiniques (Beth Din) qui siègent à Paris et dans les grandes villes de province? Suivant l’ancien grand rabbin de France, Joseph Sitruk, « les compétences du Beth Din portent notamment sur les mariages et divorces religieux, les conversions et la casherout « . Le droit français ne régit-il pas le mariage et le divorce? Et ce n’est que la partie émergée du Beth Din. Par ailleurs, il existe depuis 2007 un grand tribunal rabbinique national dont les compétences s’étendent aux conflits entre les personnes (droit privé). Lors de l’avènement de cette « Cour de cassation juive » (précédent la soumission officielle du Conseil d’Etat, lire : Dieudonné face au régime socialiste), Joseph Sitruk a déclaré à l’hebdomadaire Actualité juive que ce tribunal national serait présidé par « une sommité israélienne », le rabbin Mordehaï Gross.

Séparation du spirituel et du temporel, vraiment? Que dit-il d’Israël qui se proclame « Etat juif » et dont la constitution est la Torah? Que dit-il des tribunaux israéliens qui jugent souvent selon des lois religieuses (issues du talmud) et non civiles? Que dit-il des membres du gouvernement israélien qui paradent publiquement en kippa? Que dit-il de la différence institutionnelle entre « juifs » et « non-juifs » (différenciation des droits et obligations) imposée par le régime israélien?

Mais sans nous embarquer pour Israël, que dit-il de la soumission officielle (droite et gauche confondues) des hautes instances françaises (président de la République, premier ministre, présidents des chambres) à un lobby communautaire juif (donc religieux)? Ne faudrait-il pas plancher sur une loi de séparation de la synagogue et de l’Etat, cent dix ans après celle qui le dissocia de l’Eglise? Qu’est-ce que la Loi de 1905 sinon la soumission forcée de l’Eglise à la franc-maçonnerie et au sionisme (« Vatican II français » précédent la haute-trahison pontificale de 1962), la ténébreuse affaire Dreyfus ayant, à ce titre, joué le rôle de catalyseur entre les « pro-sémites » (pro-dreyfusards) et les « anti-sémites » (anti-dreyfusards), très nombreux parmi les Catholiques (lire l’excellent Précis de l’Affaire Dreyfus (1924) d’Henri Dutrait-Crozon (collaborateur à l’Action Française) qui prouve irréfutablement la culpabilité du célèbre capitaine), justifiant ainsi la Loi scélérate dite de « séparation des Eglises et de l’Etat ».

La Vérité si je ment !

Dimanche dernier, Valls fêtait Roch Achana chez Marek Halter, lors d’une cérémonie très select où vient se prosterner, à l’instar du dîner annuel du CRIF, le petit gratin politcico-médiatique parisien. Était également présent Cazeneuve, ministre de l’intérieur de la principauté israélienne de France (sic!) République Française mais aussi Harlem Désir, Roselyne Bachelot, Rama Yade, Valérie Pécresse, le président socialiste du conseil général d’Ile-de-France Jean-Paul Huchon,  Elisabeth Gigou, David Assouline, l’ancien ministre Jacques Toubon nommé Défenseur des droits en juillet dernier, la comédienne Elsa Zylbertstein ou encore l’animatrice et productrice de télévision Daniela Lumbroso, accompagnée de son époux Éric Ghebali, ancien secrétaire général de SOS Racisme et de l’UEJF (Union des étudiants juifs de France).

S. AZEROUAL

valls nouvel an juif